«Je souhaite que la Française des jeux redevienne l’entreprise des Français. » En détaillant sur France Info le lundi 14 octobre les modalités de la privatisation de la Française des jeux (FDJ), le ministre des finances, Bruno Le Maire, a usé d’un étonnant sophisme. Ainsi, la FDJ n’appartenait pas aux Français tant qu’elle était sous statut public mais elle leur appartiendra dès qu’elle passera sous statut privé : la formule alambiquée ne veut en vérité rien dire, sinon qu’elle révèle la radicale mauvaise foi du ministre des finances.
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