À Paris, les associations tentent de pallier les lacunes des pouvoirs publics sur le crack
Gérald Darmanin l’affirmait en septembre : la situation au square Forceval, à Paris, ne pouvait « durer que quelques jours ». Trois mois plus tard, les consommateurs de crack sont toujours là, abandonnés par un État sans solution à proposer et soutenus par des associations.
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Au milieu des tentes, des bâches bleues et des vendeurs de bric-à-brac, une fumée s’élève dans le ciel gris parisien. Celle d’un feu de bois, en plein milieu du square Forceval, porte de la Villette, dans le XIXe arrondissement. « Bienvenue au crackland » tagué dès l’entrée du square, le cadre est posé. Ce jardin est devenu le nouveau refuge des consommateurs de crack après qu’ils ont été expulsés, d’abord de la « colline du crack » en 2019, puis de la porte d’Aubervilliers en 2020 et enfin du jardin d’Éole en septembre 2021.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Mediapart a sillonné la vallée de la Valdaine et ses environs dans la Drôme, à la rencontre d’agriculteurs qui souffrent des canicules à répétition. Des pans de récoltes grillées, des chèvres qui produisent moins de lait, des tâches nouvelles qui s’accumulent : paroles de travailleurs lessivés, et inquiets pour les années à venir.
Il y a un an, le critique de théâtre Jean-Pierre Thibaudat confirmait dans un billet de blog de Mediapart avoir été le destinataire de textes disparus de l’écrivain antisémite Louis-Ferdinand Céline. Aujourd’hui, toujours dans le Club de Mediapart, il revient sur cette histoire et le secret qui l’entourait encore. « Le temps est venu de dévoiler les choses pour permettre un apaisement général », estime-t-il, révélant que les documents lui avaient été remis par la famille du résistant Yvon Morandat, qui les avait conservés.
En renvoyant systématiquement la Nupes à « l’extrême gauche », la Macronie continue de banaliser l’extrême droite qui, présente en force à l’Assemblée nationale, se félicite d’avoir autant de ventriloques.
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