International Note de veille

Présidence européenne: la France déjà en difficulté

Au premier jour de la présidence française de l'Union européenne, Varsovie et Berlin donnent plus de fil à retordre que prévu à Nicolas Sarkozy, qui est chargé de trouver une issue à l'impasse institutionnelle provoquée par le "non" irlandais.

Maguy Day

Pour Nicolas Sarkozy qui déclarait, lundi 30 juin, sur France 3, « La première priorité pour nous (est de) circonscrire le problème aux Irlandais et que les autres continuent à ratifier (le traité) », la nouvelle tombe au plus mauvais moment. Le président polonais Lech Kaczynski a en effet choisi le jour de l'arrivée de la France aux commandes de la présidence de l'Union européenne, pour annoncer qu'il ne ratifiera pas le traité de Lisbonne, dans une interview au quotidien polonais Dziennik.

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