Le coup vient de son propre camp. Emmanuel Macron s’était réjoui de la signature de l’accord de libre-échange Mercosur entre la Commission européenne et des pays d’Amérique latine (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay) le 28 juin. Trois jours plus tard, les critiques pleuvent, et beaucoup proviennent de la majorité présidentielle.
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