Au Sahel, l’échec de la France Analyse

Au Mali, la France en terre hostile

En exigeant le départ de l’ambassadeur français, la junte au pouvoir à Bamako a franchi une nouvelle étape dans la « guerre de la salive » qui l’oppose à Paris depuis plusieurs mois. La prochaine mesure pourrait être l’annonce du retrait de la force Barkhane.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Si ce n’est une rupture, cela s’en rapproche : lundi 31 janvier, la junte malienne a donné 72 heures à l’ambassadeur de France, Joël Meyer, pour « quitter le territoire national ». Une mesure radicale, extrêmement rare dans ce que Paris considère comme son « pré carré » en Afrique, qui, selon les autorités de Bamako, « fait suite aux propos hostiles et outrageux » tenus par Jean-Yves Le Drian.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal