Le blindé fait une marche arrière, avant de foncer pour faire tomber les barbelés qui lui bloquent le chemin. Les barrières résistent: les soldats découvrent que les fondations de l'obstacle sont en béton. «C'est fou ce que les narcotrafiquants arrivent à faire, cela fait au moins trente obstacles qu'on est obligés d'enlever comme ça», soupire le colonel André Novaes.
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