Les violences policières du 1er octobre ont encore terni l’image de Mariano Rajoy et rappelé, aux yeux du monde, la lourde responsabilité du Galicien dans le fossé qui s’est creusé entre Madrid et Barcelone. Comme le relève l’éditorialiste d'El Diario Ignacio Escolar dans une chronique intitulée « En route vers le désastre », l’indépendantisme catalan atteignait péniblement 11 % de voix lors de l’entrée en fonction de Rajoy à la Moncloa, fin 2011. Six ans plus tard, les sondages les donnent à 48 %. Constat implacable.
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