Disparitions massives d’espèces, menaces d’extinction comme la planète n’en avait pas connu depuis 10 millions d’années, destructions irréversibles d’écosystèmes : la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), un réseau international de scientifiques organisé sur un modèle proche du GIEC pour le climat, et placé sous l'égide de l'ONU, publie lundi 6 mai un rapport implacable. « La nature et ses contributions à la vie des peuples se dégradent partout dans le monde » avec une violence, une rapidité qui ne s’était jamais produite depuis le début de l’histoire humaine, estime l'IPBES.
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