À deux semaines des élections législatives, le gouvernement allemand joue la montre. Il se tient pour l’instant à la devise de la prudence : pas question d’intervention sans mandat international. Angela Merkel évite quant à elle soigneusement de prendre plus précisément position. Et l’opposition ne semble pas davantage avoir envie de conduire le débat sur la scène politique. Le rôle de l’armée allemande est un sujet encore sensible dans un pays partagé entre pacifisme obligé et ambitions internationales.
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