Europe

Loi européenne sur le viol : pour les ONG, la France n’a pas été « à la hauteur »

Après l’abandon mardi d’un article d’une directive qui définissait le viol sur la base de la notion de non-consentement, associations et élus pointent la France du doigt comme responsable de l’échec d’une proposition largement plébiscitée.

Zeina Kovacs

De la « déception ». C’est ce qui ressort de la conférence de presse donnée mardi 6 février au soir par les deux rapporteuses du projet de directive européenne contre les violences envers les femmes et les violences domestiques. Dans l’après-midi se déroulait la cinquième et dernière réunion à Bruxelles, destinée à trouver un accord sur le texte.

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