Dans les pays du G20, les lanceurs d’alerte sont seuls ou presque. À peine caricaturée, cette conclusion est issue du premier rapport indépendant, élaboré par des ONG et des universitaires, et publié ce lundi en Australie. « Les lois de défense des lanceurs d’alerte de la plupart des pays du G20 ne protègent pas adéquatement les salariés du public et du privé qui dénoncent la corruption, la fraude et les abus dont ils sont témoins », constate le rapport, rédigé par l’association australienne Blueprint for free speech, la branche locale de Transparency international, ainsi que des professeurs des universités Griffith (à Brisbane) et de Melbourne.
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