Beyrouth (Liban). « On savait déjà que c’était un régime de corrompus, mais, mardi, ils ont franchi un cap en assassinant leur propre peuple. Toute l’élite politique est responsable. Ces criminels doivent partir », s’insurge Magham, une enseignante et journaliste de 26 ans. Comme des milliers de Libanais, la jeune femme a répondu présente à l’appel au rassemblement samedi place des Martyrs, dans le centre-ville de Beyrouth, pour le « jour du jugement », quatre jours après la double explosion au port de la capitale qui a endeuillé le Liban.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous