Benjamin Netanyahou a attendu 12 heures pour adresser ses félicitations à Joe Biden et Kamala Harris. À lui seul, ce retard « diplomatique », pour un communicant aussi averti que le premier ministre israélien, en dit long sur son désappointement, sinon son désarroi, à la perspective de voir un dirigeant à qui il doit tant quitter la scène politique internationale. Et dont il attendait sans doute encore beaucoup.
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