Rassemblement national : les faux-semblants de la dédiabolisation

Les liens financiers et politiques d’un proche de Marine Le Pen avec le régime Al-Assad

Sous couvert d’antisionisme militant et d’opérations publicitaires, Frédéric Chatillon, ancien chef du GUD et vieil ami de Marine Le Pen, s’est converti en lobbyiste du régime syrien.

Marine Turchi et Karl Laske

Lundi 9 décembre dans l’après-midi, Marine Le Pen n’avait toujours pas réagi à la chute du régime de Bachar al-Assad. Et pour cause : l’ancienne présidente du Rassemblement national (RN) a toujours soutenu le dictateur syrien, officiellement parce qu’elle y voyait « la seule solution viable » pour empêcher l’État islamique de prendre le pouvoir en Syrie, expliquait-elle en 2017

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