Istanbul (Turquie). – L’université de Galatasaray (GSÜ) constitue le joyau de la coopération franco-turque. Un îlot de savoir francophone au bord du Bosphore, voulu par les présidents François Mitterrand et Turgut Özal en 1992 pour affirmer la force des liens unissant leurs deux pays. Accolée à l’historique lycée de Galatasaray, cheville ouvrière – déjà francophone – de la modernisation de l’empire ottoman au XIXe siècle, elle accueille 5 000 étudiants destinés à prendre une place notable parmi les élites du pays.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous