Dossier. Birmanie, la démocratie étouffée Analyse

En Birmanie, l’armée mène la guerre contre son peuple

Depuis le putsch du 1er février, l’armée birmane mène une répression sanglante. Ses cadres se voient comme les gardiens de la nation, l’ultime rempart contre des forces séparatistes qui menaceraient le pays, en particulier les minorités ethniques.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Couché sur le trottoir devant l’hôtel Vista, un trois-étoiles, le tireur embusqué ajuste son tir entre les bars à bières et les restaurants de grillades. Le militaire a été photographié avec son régiment en plein Rangoun, dans le quartier de Sanchaung, jonché de barricades montées par les manifestants contre le coup d’État.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal