La loi relative à la « sécurité globale » bientôt débattue par l’Assemblée nationale n’est pas sans rappeler certaines dispositions de l’un des textes les plus controversés d’Espagne, une « loi bâillon » en vigueur depuis juillet 2015, que le gouvernement du socialiste Pedro Sánchez, avec son partenaire de coalition Unidas Podemos, s’est engagé à révoquer au cours de son mandat.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous