Une loi féministe emblématique menace la coalition des gauches en Espagne

Depuis octobre, une loi sur les violences sexuelles, texte phare du premier ministre socialiste Pedro Sánchez a entraîné, de manière involontaire, des réductions de peines profitant à certaines personnes détenues pour délits sexuels. La coalition se déchire sur une éventuelle révision.

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Depuis qu’elle a vu le jour fin 2019, la coalition des gauches au pouvoir en Espagne a été mise à mal, à intervalles réguliers, par des désaccords entre ses deux partenaires, socialistes (PSOE) d’un côté, gauche critique (Unidas Podemos) de l’autre. Ce fut le cas, par exemple, lors de la tenue d’un sommet de l’Otan à Madrid l’an dernier, ou lors de l’exil du roi émérite Juan Carlos à Abou Dabi en 2020.

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