Après plus de six mois de contestations populaires pacifiques, le régime syrien tremble, mais s’accroche toujours au pouvoir à coup de répression féroce et de crimes contre l’humanité. La semaine passée a été l'une des plus meurtrières. S’il arrive encore à se maintenir, c’est surtout grâce à des alliances internes et externes dont il sert les intérêts et partage parfois une vision de la politique et du pouvoir. Chronique de Nadia Aissaoui et Ziad Majed.
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