Amériques

Brésil: les larmes de Dilma ne suffisent pas face aux crimes des tortionnaires

Malgré son émotion, la présidente du Brésil, torturée et emprisonnées durant la dictature, préfère le compromis avec les militaires, coupables de crimes contre l'Humanité, selon le rapport de la Commission nationale de la vérité rendu mercredi. Pas question donc de les poursuivre devant la justice.

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De notre correspondante à Rio de Janeiro (Brésil).– Des trois présidentes en exercice du cône sud, c’est sans doute celle qui aura le plus souffert dans sa chair de la dictature. L’Argentine Cristina Kirchner a été contrainte de s’exiler en Patagonie en compagnie de son compagnon Nestor. La Chilienne Michelle Bachelet, détenue par la police secrète trois semaines après que son père, un général d’aviation resté fidèle à Allende, avait succombé à un arrêt cardiaque en prison, a trouvé refuge en Allemagne de l’Est. Pour Dilma Rousseff, l’opposition à la junte militaire lui a valu trois ans derrière les barreaux, avec leur cortège de tortures et de viols. 

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