Europe Entretien

L’Ode à la joie, une «musique d’Etat» aux usages sinueux

L’Ode à la joie, issue de la « Neuvième » de Beethoven, a été remise au goût du jour par Emmanuel Macron. Retour sur les usages – y compris sous la période nazie – d’un air plus trouble qu’il n’y paraît, avec l’anthropologue Esteban Buch.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Au soir de sa victoire dimanche 7 mai, ce fut l’un des symboles, avec la pyramide du Louvre, retenus par Emmanuel Macron : l’Ode à la joie, issue de la Neuvième symphonie de Beethoven, devenue en 1985 l’hymne officiel de l’Europe. « C’est la première fois que l’on fait de l’hymne européen cet usage-là, avec un homme qui marche seul – ce qui fait sens, de manière plutôt efficace, me semble-t-il, avec la marque de fabrique du candidat Macron », commente Esteban Buch dans un entretien à Mediapart.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal