Nucléaire, la catastrophe qui dure Vidéo

Photographier la « douce apocalypse »

Entre avril 2011 et mars 2012, Antonio Pagnotta s’est introduit régulièrement dans la zone interdite de Fukushima. Il explique comment il a pu travailler. Entretien et vidéos.

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Michel de Pracontal et Sophie Dufau

Antonio Pagnotta, photoreporter, est un habitué des zones interdites. En 1997, il s’était introduit par effraction dans l’installation nucléaire de Tokaimura, au Japon, où s’était produit un accident, après avoir escaladé un grillage sans être repéré par les gardes. Entre avril 2011 et mars 2012, il s’est introduit à plusieurs reprises dans la zone interdite de Fukushima, de manière « furtive ». Ce sont ses photos que Mediapart vous proposera durant la semaine en une série de sept portfolios dont le premier, « le dernier homme », est disponible ici.

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