« Ils n’ont rien demandé », disait Luis Moreno Ocampo le 25 septembre dernier au Spiegel et à l’European Investigative Collaborations (EIC), au sujet de ses sociétés implantées au Panama et dans les îles Vierges britanniques, deux des plus opaques paradis fiscaux au monde. L’ex-procureur jurait ne pas être un évadé ni un fraudeur fiscal, en dépit de documents montrant une volonté certaine de dissimulation. Mais il reconnaissait aussi n’avoir rien déclaré de son business offshore lorsqu’il était en poste à la Cour pénale internationale (2003-2012).
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