Amériques Dépêche

La présidente argentine mise en cause par le procureur pour entrave à la justice

Après la mort mystérieuse, en janvier, du procureur Nisman, la justice argentine maintient l'enquête sur le rôle joué avec l'Iran par la présidente dans l'affaire de l'attentat antisémite de 1994.

La rédaction de Mediapart

Le procureur argentin Gerardo Pollicita a officiellement demandé vendredi 13 février la réouverture de l'enquête visant à déterminer si la présidente argentine, Cristina Kirchner, a fait entrave à la justice en couvrant l'Iran, d'où aurait été commandité par de hauts responsables l'attentat contre la mutuelle juive AMIA, qui a coûté la vie à 85 personnes, en 1994, à Buenos Aires.

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