Arts Entretien

Carmen Castillo: «Au Chili, la mémoire des vaincus est ineffaçable»

Deux festivals, à Toulouse et à Paris, projettent ces jours-ci les films de la Chilienne Carmen Castillo, ex-militante du MIR, le parti de la gauche révolutionnaire chilienne pourchassé par la dictature de Pinochet. À commencer par son grand classique, Rue Santa Fe. L'occasion de revenir, dans un entretien à Mediapart, sur l'actualité de ses films et les récentes mobilisations d'étudiants au Chili.

Ludovic Lamant

Double actualité en ce mois de mars pour Carmen Castillo. La réalisatrice chilienne présentera deux de ses films à Toulouse, dans le cadre d'une rétrospective « Cinéma et politique » imaginée par les Rencontres de cinéma latino dont Mediapart est partenaire (lire la Boîte noire de l'article). Elle accompagnera également son grand classique, Rue Santa Fe, en clôture d'une luxuriante rétrospective sur le cinéma documentaire chilien depuis 1973, proposée par le festival parisien Cinéma du Réel, à partir du 21 mars.

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