Après les frappes américaines, françaises et britanniques, les premières images de la télévision syrienne sont étonnantes : elles montrent Bachar al-Assad traversant en diagonale et en silence l’immense salle de l’un de ses palais. Même si ce n’était évidemment pas leur but, elles révèlent à leur façon l’isolement du dictateur, qui ne doit sa survie qu’au soutien de Moscou, du régime iranien, du Hezbollah libanais et de quelques groupes chiites affidés.
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