Après cinq mois de crise, les positions semblent figées, entre un pouvoir qui ne veut rien céder malgré les condamnations de l’ONU et de ses voisins, et une opposition qui continue de se battre malgré la répression et l’exil.
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CelaCela fait cinq mois que l’affrontement entre le président du Nicaragua Daniel Ortega et une grande partie de sa population perdure sans qu’une solution ne s’esquisse. Les violentes manifestations d’avril-mai-juin ont cédé la place à des grèves sporadiques, mais l’opposition ne faiblit pas pour autant. « Nous n’avons pas abandonné le combat, explique Ana Margarita Vigil, la présidente du Mouvement de rénovation sandiniste (MRS), un parti d’opposition interdit par le pouvoir. Nous le devons aux centaines de morts et de prisonniers politiques. Il est certes devenu de plus en plus difficile de manifester et de se battre vu l’ampleur de la répression, mais nous n’avons pas l’intention d’arrêter. »
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