Région de Kairouan (Tunisie), envoyée spéciale.– « Une chaîne de télévision était venue me voir il y a deux ans, je lui avais montré là où je vis comme je le fais maintenant… Mais pas grand-chose n'a changé. » Mouna Amri ne connaît pas son âge, elle sait juste qu’elle a commencé à travailler pour aider ses parents, à l'adolescence. Elle n’est pas allée à l’école non plus.
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