En 2011, il a été le lanceur d'alerte de l'affaire des quotas. Mais après s'être opposé au projet de la fédération française de foot de limiter le nombre de joueurs d'origine étrangère dans les centres de formation, il a vécu l'enfer : menaces de mort, mise au placard, départ à l'étranger. « Mon chemin de croix a duré cinq ans. » Mohammed Belkacemi revient pour la première fois dans la longueur sur ce qu'il a vécu à l'époque. Il estime que si des sanctions avaient été prises à l'époque, il n'y aurait peut-être pas eu de fichage ethnique au PSG.
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