Arrivé il y a un an à la tête du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn se retrouve au cœur d'un scandale. DSK fait l'objet d'une enquête interne au FMI pour abus de pouvoir, selon les informations du Wall Street Journal du samedi 18 octobre. Dimanche 19 octobre, Anne Sinclair, sa femme, certains de ses proches du parti socialiste, et le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, ont pris sa défense.
Un an presque jour pour jour après son entrée en fonction à la tête du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn fait l'objet d'une enquête interne sur un possible abus de pouvoir au sein de l'institution, selon les informations du Wall Street Journal du samedi 18 octobre. L'ancien ministre socialiste de l'économie, entré en fonctions le 1er novembre 2007 à Washington, est soupçonné d'avoir fait preuve de favoritisme (ou l'inverse) à l'égard de Piroska Nagy, une ancienne responsable du département Afrique du FMI, avec qui il entretenait une relation. Toujours selon les informations du quotidien financier, la société Morgan, Lewis & Bockius LLP, qui mène l'enquête, doit rendre ses conclusions fin octobre.