Au Mali, les militaires doublent la contestation populaire
Contesté dans la rue depuis plusieurs semaines par un mouvement hétéroclite dirigé par l’imam Mahmoud Dicko, le président Ibrahim Boubacar Keïta a été contraint de quitter le pouvoir par l’armée à l’issue d’un coup d’État rondement mené. Mais les intentions des putschistes, qui ont annoncé la mise en place d’une transition civile, restent floues.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
IbrahimIbrahim Boubacar Keïta se rêvait en digne héritier d’une lignée de souverains mandingues. Même dans son entourage, on admettait que le plus important pour lui n’était pas de diriger, mais de trôner. Sa déchéance n’en est que plus cruelle.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.