Le chroniqueur du New York Times, Paul Krugman, note un changement d'attitude vis-à-vis du mouvement Occupy Wall Street: après avoir méprisé ce mouvement informe dont ils ne comprenaient pas les revendications immédiates qu'il suffirait de satisfaire pour reprendre le business as usual, l'«élite financière» est passée aux jérémiades face à ce qu'ils considèrent comme de l'ingratitude de la part de ces «indignés».
LeLe chroniqueur du New York Times, Paul Krugman, note un changement d'attitude vis-à-vis du mouvement Occupy Wall Street: après avoir méprisé ce mouvement informe dont ils ne comprenaient pas les revendications immédiates qu'il suffirait de satisfaire pour reprendre le business as usual, l'«élite financière» est passée aux jérémiades face à ce qu'ils considèrent comme de l'ingratitude de la part de ces «indignés»: «Ne saisissent-ils pas tout ce que nous avons fait pour l'économie américaine ?», «Les services financiers sont l'une des dernières choses que l'on fait dans ce pays et que l'on fait bien. Il faut y adhérer»,etc.