International

Lettre à ces messieurs qu'on nomme «grands»

Pas d'accord, des intentions non suivies d'effet. Mais dès le début de la conférence de Copenhague, un sujet avait été écarté: celui de la biodiversité, de la protection des 12.000 espèces menacées d'une disparition rapide. Alors, il faut aussi parler des cigognes, du panda, des plantes, des poissons pour prendre la mesure de cet échec. Ce que fait aujourd'hui Claude-Marie Vadrot, dans sa dernière chronique de Copenhague.

Claude-Marie Vadrot

Messieurs qu'on nomme grands, messieurs les présidents, je vous fais une lettre, que vous lirez peut-être si vous avez le temps ; en quittant Copenhague dans un dernier panache de CO2. Hier pour les moins pressés d'en finir avec un rituel climatique qui vous ennuie énormément au-delà de vos discours convenus et rarement inconvenants, et aujourd'hui pour ceux qui ont voulu faire illusion jusqu'au bout.

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