À l’ONU, Macron esquisse une inflexion de sa politique étrangère

Le chef de l’État a livré mardi, à la tribune des Nations unies, un discours perçu comme offensif en soutien à l’Ukraine. Pendant deux jours, il a multiplié les initiatives diplomatiques, de l’Iran à l’Afrique, en passant par l’Europe centrale et orientale. Reste, désormais, à en juger les résultats et la traduction en actes.

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« Un grand discours qui rappelle chacun à ses responsabilités », salue sur Twitter le député Pieyre-Alexandre Anglade (Renaissance), président de la commission des affaires européennes. « Un discours puissant et engagé, qui fait honneur à la France », renchérit sa collègue Constance Le Grip. Les soutiens d’Emmanuel Macron n’ont pas eu de mots assez forts pour dire tout le bien qu’ils pensaient de son intervention à l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 20 septembre.

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