La dissidence culturelle russe monte au front

Lancée en avril dernier, la revue « Russian Oppositional Arts Review » (« ROAR ») rassemble les travaux d’artistes, d’écrivains et de poètes russophones opposés à la guerre du Kremlin en Ukraine. Entretien avec sa fondatrice, l’écrivaine Linor Goralik. 

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Née en 1975 à Dnipopetrosk, Linor Goralik est une écrivaine israélienne de langue russe ayant longtemps résidé à Moscou, avant de quitter la Russie après l’annexion de la Crimée, en 2014. Elle a récemment publié en France Trente-quatre récits très courts et assez courts, qui rassemble des textes « extra-courts », mis en ligne sur son site depuis le début des années 2000. Après le déclenchement de l’invasion russe de l’Ukraine, le 24 février, elle a lancé la Russian Oppositional Arts Review (ROAR), qui rassemble les œuvres de dissident·es russes. Une version française du troisième numéro est depuis quelques jours disponible, grâce au travail acharné d’une équipe de bénévoles. 

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