Que la Coupe du monde en Russie était belle ! Elle a fait oublier, le temps d’un été, la répression de l’opposition par l’autocrate Vladimir Poutine, ses guerres en Syrie et en Ukraine, ses ingérences électorales présumées aux États-Unis. Et bien sûr l’immense scandale du dopage d’État russe, qui a valu au pays et à des dizaines de ses athlètes d’être privés de compétitions internationales depuis deux ans.
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