Il a été celui qui a congédié Abdelaziz Bouteflika, en exigeant sa démission le 2 avril dernier. Il était depuis l’homme fort du régime algérien et sa voix unique face au « hirak », ce soulèvement sans précédent du peuple algérien contre le « système » et pour la démocratie. Le général Gaïd Salah, 79 ans, chef d’état-major de l’armée nationale populaire (ANP) depuis 2004 et vice-ministre de la défense, est mort subitement d’une crise cardiaque lundi 23 décembre.
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