Interrogé à propos d’une note de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), il s’étonne : « Leur analyse est totalement fausse et je dois dire que pour des spécialistes de la Syrie, ce rapport est un torchon. » Toujours à propos des mêmes, il dénonce « leur mauvaise foi ou leur ignorance », et argumente sur huit pages de procès-verbal pour prouver ses dires.
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