International Entretien

Maroc: «Il faut une évolution démocratique de ce régime»

Au Maroc, le mouvement de contestation ne touche pas que les étudiants ou les diplômés-chômeurs. Pour l’homme d’affaires marocain Karim Tazi, qui soutient les dizaines de milliers de manifestants du 20 février, les Marocains demandent aujourd'hui une véritable séparation des pouvoirs.

Pierre Puchot

Au Maroc, le mouvement de contestation ne touche pas que les étudiants ou les diplômés-chômeurs. PDG du groupe marocain d'ameublement Richbond, militant associatif, Karim Tazi s'est également engagé dans un mouvement qui a vu des dizaines de milliers de Marocains (35.000, selon le ministère de l'intérieur, plus de 300.000, selon les organisateurs) entamer une marche le 20 février 2011.

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