Autocensure, intimidation et répression… le quotidien amer des journalistes en Algérie
Depuis février 2019, le « Hirak Populaire » embrase l’Algérie. La dérive autoritaire du pays l’a fait tomber à la 146e place, sur 180, dans le classement annuel de la liberté de la presse de Reporters sans frontières. Certains journalistes sont en prison tandis que d’autres sont poursuivis en liberté. En attendant leur jugement et malgré les pressions, ils continuent de faire leur travail.
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RédacteurRédacteur en chef du quotidien régional algérien Le Provincial, Mustapha Bendjama ne compte pas le nombre de fois où il a été arrêté au cours des trois dernières années. Peut-être vingt, peut-être trente. Souvent, il est interpellé quelques minutes avant le début des manifestations et relâché quelques heures après leur fin.