Europe

En Pologne, Roumanie et Hongrie, le parcours du combattant des Ukrainiennes pour accéder à une IVG

Comme aux États-Unis, l’accès à l’avortement est compliqué, voire interdit en Pologne, mais aussi en Roumanie et en Hongrie. Ces pays frontaliers de l’Ukraine hébergent plusieurs centaines de milliers de réfugiées de guerre ukrainiennes sur leur sol, qui n’ont parfois pas d’autre choix que d’avorter dans un autre pays. 

Helene Bienvenu et Marine Leduc

Varsovie (Pologne), Bucarest (Roumanie).– « Souvent, les réfugiées ukrainiennes qui ont subi un viol et ont besoin d’une IVG se contentent de nous dire au téléphone : j’ai une grossesse non désirée. Quelqu’un m’a fait quelque chose, pouvez-vous m’aider ?… », explique Antonina Lewandowska, employée de Federa, la Fondation pour les femmes et le planning familial en Pologne.

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