Depuis plusieurs mois, la polémique fait rage entre les économistes orthodoxes et hétérodoxes sur une question qui semble un peu abstraite : faut-il ou non un prix mondial unique sur le carbone ? Derrière ce débat théorique, se cachent des choix décisifs sur la réalité des changements pour lutter contre le réchauffement climatique.
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Mais quelle mouche a piqué Jean Tirole ? Ils sont nombreux à se poser la question dans le petit monde universitaire de la recherche économique. Jusqu’alors, l’universitaire couronné en 2014 par le prix Nobel d’économie – ou plus exactement par le prix de la banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel – était plutôt connu pour ses travaux sur les captations des systèmes de régulation par les oligopoles, ou sur les liens entre l’économie et la psychologie. Et brusquement, le voici qui se passionne et rend des avis d’expert sur l’écologie.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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