Afrique(s)

Au Maroc, « la fin d’une longue histoire » pour les journalistes libérés

Plusieurs journalistes et opposants au régime de Mohamed VI réagissent à la grâce dont ils ont bénéficié lundi 29 juillet. Ils disent leur soulagement et leur espoir que d’autres prisonniers politiques soient libérés.

Zeina Kovacs

D’abord la surprise, puis le soulagement. L’historien Maâti Monjib se promenait dans les rues de la ville marocaine de Témara quand un inconnu est venu vers lui : « Monsieur Monjib, vous êtes gracié ! » « Je n’y ai d’abord pas cru, raconte-t-il, puis j’ai lu la presse qui l’annonçait. »

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