Parlement

Barnier sur l’écologie : un discours qui fleure bon la naphtaline

Se présentant comme engagé sur les questions écologiques, Michel Barnier a tenu devant l’Assemblée un discours techno-solutionniste particulièrement passéiste, qui masque aussi d’importants reculs, notamment sur le « zéro artificialisation nette » et les passoires thermiques.

Lucie Delaporte

De mémoire de déclaration de politique générale, rarement l’écologie n’avait été placée aussi haut dans la bouche d’un premier ministre. Dès le début de son intervention, Michel Barnier, qui a rappelé qu’il avait lui-même été ministre de l’environnement, a présenté l’ensemble des grandes orientations politiques de son gouvernement sous la double exigence de la « dette budgétaire » et de « la dette écologique ».

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