Face aux affaires, l’opposition s’indigne, l’exécutif se terre

Les dernières mises en cause par la justice de deux figures du pouvoir, Alexis Kohler et Éric Dupond-Moretti, sont venues perturber mardi la rentrée parlementaire. Face à des oppositions plus ou moins véhémentes, l’exécutif et la majorité en disent le moins possible, en espérant que la tempête passe.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Quelques moments de sidération, des éléments de langage qui circulent de boucle en boucle et une majorité qui serre les rangs. Au lendemain de l’annonce, à quelques heures d’intervalle, du renvoi d’Éric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République (CJR) et de la mise en examen d’Alexis Kohler, tous deux pour « prise illégale d’intérêts », le camp présidentiel tente de résister au scandale.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal