Droite Reportage

À Saint-Denis, le camp présidentiel se démarque du RN... et de Bruno Retailleau

Alors que Marine Le Pen réunissait ses troupes à Paris, dimanche 6 avril, Gabriel Attal rassemblait les siennes à Saint-Denis. À la tribune, beaucoup ont évité le sujet de la condamnation de la cheffe de file du RN, mais certains ont tout de même attaqué l’extrême droite et désavoué le ministre de l’intérieur dans leur offensive contre les prétendus « juges rouges ».

Pauline Graulle et Ellen Salvi

Il aura fallu attendre que Marine Le Pen ait terminé son discours place Vauban, à Paris, pour que Gabriel Attal monte enfin sur la scène de la Cité du cinéma à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), où Renaissance organisait, dimanche 6 avril, une journée de rencontres et de « débats » – qu’il conviendrait plutôt de qualifier de suite d’interventions. Pour faire patienter les personnes massées dans la grande halle – plus de 8 000 selon les organisateurs –, le parti présidentiel avait sorti la fanfare et les drapeaux français et européen.

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