L’exécutif espère l’éclaircie mais craint l’embrasement

Est-ce la fin du tunnel ou le début d’un autre ? La question taraude le pouvoir, qui craint que la pénurie de carburants n’engendre une crise sociale plus large. Entre dimanche et mercredi, la séquence politico-sociale sera scrutée de près par le gouvernement, conscient du risque qu’elle porte.

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Si la gestion de l’État était un grand réchaud, le climat social en serait le feu le plus scruté. « Est-ce que les gens vont descendre dans la rue ? », s’inquiétait récemment un ministre au sujet de l’automne à venir. Quatre ans après les « gilets jaunes », l’exécutif craint d’être rattrapé par la mobilisation sociale, alors que le mouvement dans les raffineries continue d’affecter les automobilistes, privé·es d’essence ou contraint·es de rejoindre des files d’attente monstrueuses pour s’approvisionner.

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