Face au rejet, par le Conseil constitutionnel, de la première demande de référendum d’initiative partagée et les doutes persistants sur la rédaction du deuxième, les députés socialistes avaient rédigé en catastrophe une nouvelle mouture. En vain : Emmanuel Macron avait déjà promulgué sa réforme.
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AprèsAprès le rejet de la demande de référendum d’initiative partagée (RIP) portée par les députés communistes, le RIP des sénateurs socialistes sera-t-il approuvé, le 3 mai, par le Conseil constitutionnel ? Les députés PS en doutent. Au point que, vendredi 14 avril, jour de la validation du texte de la réforme des retraites et de l’invalidation du premier RIP, Boris Vallaud, le président du groupe à l’Assemblée nationale, avait rédigé in extremis une troisième version.