Les bidonvilles de Mayotte abriteraient 100 000 personnes, dont beaucoup en situation irrégulière. Mais la grande majorité d’entre elles ont préféré braver le cyclone Chido plutôt que de se rendre dans les abris officiels. De peur de se faire contrôler et expulser.
Une note de l’Insee prévoit une hausse du chômage début 2025 et des destructions d’emplois dans la construction et l’industrie. Pourtant dynamique depuis 2017, l’emploi dans les services est désormais atone. Nouvelle preuve de l’échec de la politique de l’offre.
Vladimir Poutine, incapable d’éviter la chute de Bachar al-Assad, a perdu plus qu’un allié en Syrie : il y a également laissé sa réputation de partenaire sûr et loyal. L’avenir de la politique russe au Moyen-Orient réside désormais entre les mains du nouveau pouvoir syrien.
Le 16 décembre, un joueur de l’ASBH, le club de rugby de Béziers, a été condamné pour la deuxième fois pour violences conjugales. Un mois plus tôt, c’est un de ses collègues qui l’était. Un troisième est visé par une enquête de la Ligue nationale de rugby. Le club, lui, veut « laver [son] linge sale en famille ».
Après le passage du cyclone Chido, les manquements de l’État, incapable de répondre aux attentes des habitants de Mayotte, sont criants. Les victimes pourraient se compter par centaines, voire par milliers, a prévenu le préfet. Tous les réseaux sont touchés : eau, électricité, téléphone, routes… Les risques étaient pourtant connus.
Dans l’indifférence générale, la vague actuelle de plans sociaux et de fermetures d’usines prend des allures de catastrophe économique. Alors que la part de l’industrie est déjà au plus bas, celle-ci pourrait atteindre un seuil irréversible, plombant durablement toute l’économie française.
Après le placement en redressement de l’usine Vencorex, sur l’autre plateforme chimique du Sud grenoblois, Arkema se dirige vers une fermeture partielle. Plus de cent emplois sont sur la sellette. Le 12 décembre, des salariés des deux entreprises étaient réunis devant la préfecture de l’Isère.
Sur la même ligne économique que le chef de l’État, le nouveau premier ministre a toujours milité pour ériger en priorité la baisse de la dette publique et les coupes dans le modèle social. Nuance avec la Macronie : il n’a cependant jamais exclu de taxer (un peu) les plus riches.
Arguant d’un motif sécuritaire, Israël pilonne depuis plusieurs jours les installations militaires syriennes et investit en toute illégalité la zone tampon du Golan.
Hier chantre de la lutte contre les atteintes à la probité, le nouveau premier ministre a multiplié ces derniers temps les déclarations polémiques en défense de mis en cause dans des affaires politico-financières. Il est personnellement toujours sous la menace d’un procès en appel dans l’affaire du MoDem.