Les « Sages » ont examiné une question prioritaire de constitutionnalité déposée par un élu local qui conteste sa révocation à la suite d’une condamnation. L’affaire, mise en délibéré au 28 mars, pourrait donner des arguments à Marine Le Pen, dont le sort judiciaire sera tranché trois jours plus tard.
Après la publication d’une représentation antisémite de l’animateur, LFI rechigne à s’exprimer sur les responsabilités internes de cette campagne. La députée Sophia Chikirou, qui supervise la communication du mouvement, renvoie la patate chaude au coordinateur national, Manuel Bompard, qui ne répond pas.
La ministre de l’écologie a présenté lundi le plan national d’adaptation au changement climatique. Mais les financements alloués à cette feuille de route pour préparer la France à + 4 °C sont très insuffisants et, pour certains, empiètent sur ceux fléchés pour diminuer les émissions du pays.
À l’issue d’une journée de discussions, les États-Unis et l’Ukraine se sont mis d’accord, mardi 11 mars, sur la reprise de l’aide militaire états-unienne à Kyiv et sur le principe d’un cessez-le-feu « de 30 jours ». Les regards sont désormais tournés vers Vladimir Poutine.
En Ukraine, la centrale nucléaire est occupée depuis trois ans par les militaires russes. Rosatom, l’entreprise d’État russe, ne cache pas sa volonté de redémarrer les réacteurs. L’Agence internationale de l’énergie atomique, chargée de surveiller le site, joue un rôle ambigu.
Tenté de tempérer les ardeurs de son ministre de l’intérieur, Emmanuel Macron s’est attiré les foudres de la droite et de l’extrême droite, qui lui reprochent de « céder » à Alger. Faute de traduction en actes, la position présidentielle n’a encore rien réglé à la situation.
Face au chaos du monde, la Banque centrale européenne, plutôt que d’apporter son soutien aux pays européens, préfère s’en tenir à son rôle traditionnel : la stabilité des prix.
L’arsenal nucléaire français est censé protéger les « intérêts vitaux » du pays. Remise en avant par Emmanuel Macron, la « dimension européenne » de ces intérêts vitaux suscite une grande méfiance parmi des forces très différentes de l’opposition. Mais de quoi parle-t-on ?
Le parti de Marine Le Pen navigue entre une certaine admiration pour le président états-unien, ses alliés résolument pro-Trump et une volonté de revendiquer une posture de non-aligné. En résulte un silence gêné face aux bouleversements géopolitiques en cours.
Brisée par des années de guerre civile, de répression et par le « capitalisme rapace » du clan Assad, sans compter les sanctions internationales, la Syrie a vu sa monnaie perdre toute valeur et ses infrastructures s’effondrer. Paupérisée, la population se tourne vers l’économie informelle.